Articles les plus consultés

La putain des écolos

Quand la science se fait la putain des écologistes, elle parvient à persuader les citoyens qu’en bloquant leur respiration, ils pourraient sauver les phoques et les ours blancs du réchauffement planétaire.
Pourtant, un minimum de réflexion suffit à comprendre l’inénarrable bêtise de nos théoriciens-scientifiques-écolos.

Le CO2 fait partie des gaz naturels de l’atmosphère comme le sont l’oxygène ou l’azote. Dans un recyclage permanent, le CO2 est produit et absorbé naturellement par les océans, les animaux, les plantes, les bactéries...
La part humaine est tellement négligeable, infime, ridicule – quelque dizaine de parts par million ! - que freiner nos émissions de CO2 équivaudrait à vouloir rafraîchir un volcan avec un éventail.
A cela, il faut ajouter que la vapeur d’eau est - à 95% - le gaz principal à effet de serre…
Autrement dit, plutôt que de diminuer notre production de CO2, il serait plus efficace de réduire l’évaporation de l’eau à l’échelle planétaire.
Quitte à sombrer dans le ridicule, pourquoi ne pas interdire aux arbres de transpirer, aux océans de s’évaporer et aux kangourous de pisser dans la nature ?

Le boom industriel, censé produire trop de CO2, a eu lieu au moment de la seconde guerre mondiale. Or, le réchauffement climatique a débuté bien avant : aux alentours de 1800. Depuis 4,5 milliards d’années, le système solaire n’a pas attendu les élucubrations d’hurluberlus politisés pour monter ou baisser sa température.

Soyons sérieux : le CO2 n’est pas responsable du changement climatique.
La hausse de température que nous vivons actuellement entre dans le cadre des cycles climatiques normaux. Pas de quoi s’alarmer.
La principale cause du réchauffement, c’est la source de chaleur, c’est-à-dire le soleil, qui est une formidable centrale nucléaire dont les taches témoignent de sa variation d’activité, donc de sa capacité de chauffe.

Alors pourquoi donc nous rebat-on les oreilles avec de pareilles inepties ?
D’aucuns pensent que tout vient du ciboulot surchauffé des écologistes qui élèvent leur doctrine gauchiste au-dessus de la science et du bon sens.
C’est une façon pour eux, de lutter contre les pays industrialisés.
Ainsi, ils remplacent en quelque sorte le communisme qui était le seul rempart contre le capitalisme.
Xavier-Louis de Izarra

1 commentaire:

  1. DURBAN : SOMMET DU RIDICULE

    L’obscurantisme écologique bat son plein : à Durban des messies de la cause verte réunis en grande pompe et persuadés d’être au bord du gouffre climatique veulent “sauver la planète”, c’est à dire faire barrage aux rayons de l’astre Râ, détourner les flux aériens autour du globe, canaliser les éléments cosmiques, lancer des ordres aux océans, donner des cours de sagesse aux saisons...

    Et cette titanesque entreprise de contrôle des éléments, ils veulent la faire à coups de décrets, de mesures hygiéniques, morales, politiques...

    Le détournement de la course de la planète autour du soleil se fera donc au terme de cette réunion au sommet ! Ou ne se fera pas. L’enjeu de cette assemblée d’esprits enfiévrés par les frémissements météorologiques à Durban n’est ni plus ni moins qu’une question de vie ou de mort pour l’Univers.

    Signe de la maladie de notre Terre, prémices de la fin des temps possibles : les glaciers fondent.

    La catastrophe est, en effet, totale, terrible, définitive...

    L’apocalypse.

    Il fait chaud en été, il est tombé trop peu de neige l’hiver dernier à Chamonix pour contenter les skieurs parisiens, une tempête se lève par-ci, par-là , un ruisseau déborde à Trifoullis-les Oies, il n’en faut pas plus pour que les verts s’alarment, s’affolent, crient à l’assassinat de la planète par nos cheminées !

    Il faut savoir que, curieusement, l’écologiste de base déteste voir fondre un glacier. Dans la tête d’un défenseur de la verdure la glace des pôles est éternelle. Sauf si vous allumez une centrale électrique. En ce cas le système solaire entier est perturbé par ces machines infernales, et bientôt le chaos devient universel. Le soleil brille encore mais pour combien de temps ? Il va finir par tout brûler, transformant la planète en désert. A moins qu’il ne fasse fondre la neige et que celle-ci engloutisse les terres... Avec les écologistes, le cataclysme est tantôt aqueux, tantôt sec. Ou les deux extrêmes en même temps.

    Spécialement créés pour faire joli, les glaciers doivent, selon les amoureux de la planète, rester à leur place aux pôles et n’en jamais bouger. C’est la loi verte. Ou blanche. Enfin c'est la loi quoi !

    Et si jamais nos conduits d’évacuation des fumées détraquent la banquise, font larmoyer les montagnes, noient les îles et même peut-être bientôt l’Australie si on continue de craquer inconsidérément nos allumettes, notre dernière chance sera de faire du vélo, manger bio, trier nos déchets, alors le climat fera marche arrière, les banquises regèleront, les montagnes reblanchiront leur front et l’Australie sera sauvée.

    Et les kangourous sauteront de joie pendant encore dans 100 000 ans.

    Raphaël Zacharie de IZARRA

    RépondreSupprimer